La DGCCRF reproche aux influenceurs et aux agences de ne pas être honnêtes avec leur communauté, de tromper les consommateurs et de ne pas être transparents sur les produits qu’ils recommandent. À la tête de l’étude depuis 2 ans, la DGCCRF a observé attentivement le comportement d’une soixantaine d’influenceurs « spécialisé » dans la cosmétique, les produits alimentaires, programmes de minceurs, etc.

Sur la totalité des influenceurs étudiés, aucun n’a respecté l’obligation de mentionner la marque lorsque c’est une publication commerciale ou un placement de produit. L’étude relève également le manque d’honnêteté dans leur publicité ainsi que le manque de connaissance des produits.

Ce genre de pratique peut amener ces influenceurs à être condamnés à une amende allant jusque 300 000 euros ou encore à une peine de prison de deux ans.

Suite à l’étude, un rapport a été publié le 23 janvier par l’organisme public, le ministre de l’économie a jusque début mars pour déclarer s’il compte poursuivre ou non ces différentes personnalités publiques.