Les points de vente belges restent mal référencés!

La quasi-totalité des commerces européens serait mal référencée sur le web, relève une enquête de Mobilosoft réalisée sur un échantillon de 5.000 points de vente dans cinq pays européens dont la Belgique. Une situation aussi étonnante qu`alarmante!

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 Selon une enquête effectuée par l`entreprise bruxelloise Mobilosoft auprès d`un échantillon de 5.000 points de vente dans 10 secteurs d’activités (banques, supermarchés, magasins de vêtements) répartis dans cinq grands pays européens (Allemagne, Angleterre, Belgique, Espagne et France), la quasi-totalité des commerces européens est mal référencée voire tout simplement inexistante sur des plateformes comme Google Maps, Foursquare, Facebook, le web ou sur les GPS TomTom et HERE.

 

Autrement dit, aucun des 500 retailers étudiés en Europe n’a correctement référencé ses magasins sur le web.

L`enquête révèle plus concrètement que la probabilité de trouver en ligne les informations correctes et complètes des magasins en Europe est de seulement 34%. Un internaute a en outre moins de 25% de chance de trouver les heures d’ouverture des magasins européens en ligne.

En ce qui concerne les différents marchés étudiés, c`est l’Allemagne qui s`en sort le mieux avec 40% de chance de trouver les informations en ligne sur le point de vente. La Belgique occupe néanmoins la deuxième place avec un taux de probabilité de 37%, alors que l’Angleterre ferme la marche avec seulement 31%.

Lorsqu`on analyse notre marché de plus près, l`enquête révèle qu`à peine un tiers des magasins belges mentionnent correctement leur adresse et leur téléphone. Tandis que 54% des points de vente en Belgique brillent par leur absence sur Google Maps (à peine 34% d’entre eux proposent une adresse physique exacte). Même constat pour Foursquare ou Facebook puisque les magasins belges y sont soit inexistants, soit très mal déployés (à peine 4% de chance d`y trouver les informations exactes des points de vente).

Selon l`enquête, c`est le secteur de la restauration et hôtellerie serait qui offrirait les meilleurs renseignements en ligne, alors que le secteur de la télécommunication serait le moins performant.

Un constat qui interpelle à l’heure où le contexte économique impose aux entreprises de trouver de nouveaux débouchés.

 

 

 

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