La révolution numérique a changé totalement la manière de faire affaires. Les fonctions « backoffice » n’échappent pas aux trois tendances disruptives de l’avenir.

L’intelligence artificielle (IA), la Robotics Process Automation (RPA), les Predictive Analytics et technologies blockchain sont les grands mots actuellement à la mode. Non seulement, ils accélèrent les processus, mais ils en améliorent aussi l’efficacité et la précision.

Le secteur de la finance, pour ne citer que celui-ci, est le dernier chaînon de toute une série de fonctions soumises à la croissance exponentielle de l’IA et de la RPA (robotisation de logiciels).

Voici plus de 30 ans déjà qu’on cherche à trouver des solutions pour automatiser et traiter les Accounts Payable, susceptibles de réduire la charge de travail et le nombre de collaborateurs. L’un et l’autre génèrent des bénéfices supplémentaires et optimisent les réductions, produits, cashflows, planifications budgétaires interdisciplinaires, prédictions etc.

Les équipes « Finance » tournées vers l’avenir doivent en tenir compte lors des nouveaux engagements et veiller à ce que les nouveaux collaborateurs aient les compétences nécessaires rester à la page des évolutions technologiques.

La technologie de l’AI est fondée sur des données précises. Sans données précises suffisantes, elle ne dispose pas des informations nécessaires pour connaître et comprendre les décisions à prendre.

Les spécialistes du Finance et Procurement doivent donc opter pour des réseaux d’affaires qui leur permettent en premier lieu de raccorder 100% des fournisseurs à l’écosystème P2P, de réaliser ensuite 100% d’adoption par les utilisateurs grâce à l’e-procurement et d’automatiser 100% des commandes et des factures.

Le blockchain permet enfin de disposer des données plus précises et surtout d’éviter la nécessité d’audits par des tiers.

« Car les données qui sont introduites et tracées sur Blockchain ne peuvent plus être modifiées, même pas par celui qui gère le système comptable. Vu que l’intégrité des données financières est garantie, un audit par des tiers n’est plus nécessaire. Ajoutons à cela que les cycles sont écourtés et que les frais sont réduits du fait que tout se fait en temps réel. Sans oublier que la visibilité réalisée par Blockchain peut être adoptée pour les analyses permettant de mieux gérer le cashflow et les risques », explique Dany De Budt, Country manager de Basware.

Et de résumer : « l’avenir du finance and procurement, actionné par l’e-commerce, révolutionnera non seulement la manière de travailler, mais aussi la manière d’acheter, de vendre et de négocier. Il est donc primordial de bien comprendre le développement des équipes, les rapports avec les fournisseurs et la collaboration entre les différents départements lors du choix des technologies conçues pour faire évoluer son business ».