La cybersécurité, une affaire d’ADN numérique

Les bonnes pratiques en matière de cybersécurité en entreprise seraient dictées par « l’ADN numérique ». Les travailleurs de plus de 30 ans s’inquiètent du manque de compétences en matière de sécurité au sein de leur organisation.

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Les travailleurs de plus de 30 ans adoptent davantage les bonnes pratiques de cybersécurité par rapport à leurs collègues plus jeunes, ayant pourtant grandi dans le numérique, relève un rapport réalisé par la division Sécurité du spécialiste de la sécurité NTT.

L’étude révèle ainsi que les collaborateurs ayant passé davantage de temps à acquérir des connaissances et des compétences en milieu professionnel développent un « ADN numérique » plus affirmé que leurs collègues plus jeunes. 

Née à l’ère numérique, la jeune génération évolue dans un contexte marqué par les cybermenaces et se préoccupe beaucoup moins de ce problème que leurs ainés. 

Dopés par des méthodes de travail flexibles et agiles, les collaborateurs plus jeunes seraient ainsi « plus ouverts à l’utilisation d’appareils personnels au travail et les perçoivent comme moins dangereuses pour la sécurité que leurs aînés ». Même s’ils restent néanmoins plus nombreux à s’inquiéter du risque potentiel de l’IoT.

« L’étude a mis en évidence la différence d’attitudes et de comportements entre les générations vis-à-vis de la cybersécurité. L’essentiel est de s'assurer que les employés comprennent bien que la sécurité est l'affaire de tous et qu'elle n'est pas la seule responsabilité de l’IT, comme ça a pu être le cas par le passé », résume Garry Sidaway, Senior Vice President, Marketing Strategy chez NTT. 

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