Dans cette deuxième vague, le code source du site et l’email du fondateur sont dévoilé au grand jour. Une carte est également disponible et offre une vision d’ensemble des données piratées. Elle permet aussi de voir les pratiques différentes selon le pays, le sexe et l’accès à internet.

L’affaire a même fait réagir le Pentagone qui a déclaré que ses services vérifiaient si des membres de l’armée avaient utilisé le site, l’adultère pouvant mener à des poursuites dans cette administration.

13.000 belges sont concernés par ce piratage et sont repris dans cette carte publiée par les pirates.