Les chiffres sur l’état de la cyber-sécurité dans les entreprises belges

La moitié des CIO belges n’informent pas le management de leur entreprise en cas de fuite de données avérées. Un constat relayé par un sondage récent publié par VMware.

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La société informatique VMware publie un sondage sur l’état de la cyber-sécurité dans les entreprises réalisé par le bureau d’études Vansonbourne auprès de 100 CIO et 200 employées belges.

 

Et le moins quel l’on puisse dire, c’est que les chiffres compilés lors du sondage sont étonnants lorsqu’on les compare avec la moyenne européenne ou un autre pays comme les Pays-Bas:

 

- 48% des CIO belges reconnaissent ne pas informer leur management concernant une fuite de données réelle. Contre une moyenne européenne qui s’élève à 25%, ou en Hollande à 31%.

 

- 24% des ITDM (IT decision makers) ainsi que 24% des employées estiment que la responsabilité des dégâts causés par une cyber-attaque incombe au CEO de l’entreprise.

 

-69% des preneurs de décisions belges s’attendent à une cyber-attaque dans les 90 jours à venir. Contre 37% en moyenne en Europe, ou 42% en Hollande.

 

- pour 46% des preneurs de décisions belges, « la négligence ou le manque de formation des employées » apparaissent comme les principales causes des cyber-attaques.

 

-47% des preneurs de décisions belges estiment que les attaques évoluent plus vite que leur niveau de sécurité.

 

- Pour travailler plus efficacement, 25% des employées belges sont prêts à courir le risque de ne pas être totalement conformes aux mesures de sécurité de leur organisation. Contre 17% pour la moyenne européenne, et 21% en Hollande.

 

 

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